En centrafrique, le 24 mars a marqué le premier anniversaire de la prise de bangui, la capitale de la République Centrafricaine et la chute du pouvoir le président François Bozizé causé par les ex-rebelles de la Séléka. La situation des populations est critique ne peut plus perdurer.
En effet, selon plusieurs des ong encore présentes sur le terrain en Centrafrique, les perspectives d'une stabilité politique, un facteur clé pour le rétablissement d'une paix durable pour les populations affectées sont minces, voir nulles.
Nous appelons toutes les parties à chercher des solutions de paix viables et durables dans l'intérêt du peuple et de la république Centreafricaine et demandons aux béligérants de toutes confessions de regarder au fond de leur croyances et rechercher l'harmonie en Centrafrique.
Selon Marie-Hélène Rodrigue, directrice des opérations de Médecins sans frontières (msf) les perspectives de retour à une situation politique et sociale normale semblent minces selon une récente déclaration lors d'un point de presse.
Nous sommes très inquiets de ce vide et de ce silence politique qui s'est installé
En visite, jeudi 20 mars, à Bangui, la haut-commissaire de l'onu aux droits de l'homme, Navi Pillay, a elle ausse dressée un tableau dramatique de la situation en Centrafrique.
.Bien que les tueries à grande échelle qui ont eu lieu en décembre et janvier paraissent être arrêtées pour le moment, principalement en raison de la présence des forces africaine Misca et française “Sangaris”, des personnes continuent d'être tuées quotidiennement
Vous en pensez quoi ?